- sand33 a écrit:
- Pour ma part, par exemple, j'ai 1500 visites par mois...alors je me dis, qu'au bout de deux mois d'ouverture, mon référencement n'est peut-être pas si mauvais....et c'est vrai que 80% de mes visiteurs viennent par Google. Smile
Par contre, en local, malgré mon beau marquage auto, mes jolis flyers distribués et affichés partout où je peux dans ma commune, avec pourtant toutes les copines que j'ai, j'ai eu très peu de ventes (juste 5 de copines).
Donc, je crois que c'est aussi en local que je dois concentrer une grande partie de mes efforts...
1500 visites par mois au bout de deux mois c'est super !
Surtout si 80% de ceux-ci proviennent de Google, ça signifie que ton référencement doit être bien fait. En plus les clients Google sont souvent des inconnus, des nouveaux clients que tu as été chercher. 80% de 1500 visites ça fait environ 1200 personnes et je ne pense pas que dans ton entourage proche tu connaisses 1200 personnes lol... Donc c'est très encourageant, car l'un des principaux but c'est de cibler et de vendre à des personnes que l'on ne connait pas
A l'aide de Google Analytics tu peux facilement voir quels type de mots clés sont saisis par les internautes qui aboutissent sur ton site, ça permet d'encore mieux cibler et surtout de trouver de nouvelles idées de mot clés auxquels on aurait pas pensé.
Tu peux aussi voir quelles sont tes pages les plus vues.
Par contre je ne comprend pas trop ton raisonnement lorsque tu dis que c'est en local que tu vas concentrer une grosse partie de tes efforts étant donné que tu nous dis que ça ne marche pas trop...
Pourquoi se concentrer sur ce qui ne fonctionne pas ?
Pourquoi créer une boutique de vente sur internet, donc visible nationalement, pour au final se concentrer sur le local ? Tu vends des produits sur internet que tu ne peux livrer qu'en local ?
Pourquoi ne pas foncer et perfectionner encore plus ce qui fonctionne déjà pour toi ?
Surtout ne le prend pas mal
C'est mon avis c'est tout... je suis pas méchant, je mords personne, mais je parle un peu beaucoup parfois lol.
- sofybj a écrit:
- J'ai en moyenne 10000 visites par mois .. et je peux aller jusqu'à 100 commandes par mois ..
(...)
Je travaille que sur le net.
Si vous avez des questions précises .. n'hésitez pas !
Là encore je trouve que c'est un exemple très encourageant, mais ça me fait rebondir sur une des toutes premières choses qu'on m'a appris au tout début que je faisais de la vente sur internet.
C'est qu'avec une boutique sur internet (et c'est logique), les commandes dépendent fortement du nombre de visites sur le site, et qu'en moyenne entre 0,5 % et 1% des visiteurs passent commande, et jusqu'à 3% pour les meilleurs. ça je l'ai lu, entendu, appris, relu, etc, et je pense que c'est toujours valable.
Là pour ton témoignage, ça reflète bien cette tendance : 10000 visites / 100 commandes.
Il existe aussi des domaines d'activités sur internet où on cherche constamment à augmenter ce ratio, c'est pas très courant mais certains arrive parfois jusqu'à 20% de commandes. Mais absolument rien à voir avec les boutiques.
Sinon pour les questions
Ton trafic provient-il uniquement de ton référencement ? Et de quel type de référencement : SEO ? SEM (adwords) ? SMO (Facebook & Co) ? Quel budget ça te fait chaque mois pour la pub (si c'est pas trop indiscret) et combien de temps consacres-tu à faire ta publicité sur ces sources de trafic ?
- recrutemaman a écrit:
- Et merci Panik, pour tous ces détails, j'ai longtemps cherché un e-book pour mon activité (à offrir), je n'ai pas encore trouvé mon bonheur ... je ne desespère pas Smile
y'a pas de quoi Célia
J'essaye de participer un peu entre deux périodes de boulot lol
Je ne pas pris le temps d'aller consulter ton site. L'idée de l'ebook gratuit est une super idée qui de plus en plus utilisé, qui peut être rentable et qui peut te faire une énorme pub (je l'utilise sur mon blog). Surtout si tu parles d'une partie de ton savoir faire à l'intérieur, ou que tu y centralises différentes infos ou techniques pas évidentes à trouver sur internet (ou éparpillé par ci par là).
Tu dis que tu n'as pas encore trouvé ton bonheur, mais pourquoi tu ne l'écris pas toi même ce e-book gratuit ? Je ne sais pas de quoi tu veux parler dedant, mais entre 10 (le rapport) et 50 pages c'est très courant. Et puis avec OpenOffice tu peux facilement créer des fichiers PDF gratuitement.
- camelias a écrit:
- (...)et je te souhaite que cette année t'apporte plein de bonne choses et à vous aussi les filles et nos petits gars
Je te souhaite aussi beaucoup de courage et beaucoup de vente camélia
En plus elle est vachement bien ta boutique. On adore la déco avec ma femme ! C'est parce que là on n'est encore en location et qu'on a pas encore notre maison, donc on se foule pas trop pour la déco, mais des produits comme le stickers géant "Rock Star" sur ta boutique, j'adore ça !
- colette a écrit:
- Je n'ai pas tout lu, trop long, mais cette phrase m'a interpelée
le statut de VDI ne permet pas de vendre sur le net, c'est même strictement interdit
les vendeur à domicile on le droit de vendre dans des lieux qui ne sont pas habituellement destinés à faire du commerce et uniquement ainsi
j'ai remarqué que beaucoup de VDI même confirmé(e)s ignoraient une bonne partie de la réglementation en la matière et se mettent hors la loi
je parle bien des VDI et pas des AE ou autre qui font aussi de la vente à domicile et qui n'ont pas le même statut
- dappartapart a écrit:
- tout a fait le vdi ne vends pas en ligne
doit respecter la législation notamment celle des 7 jours loi dit scrivener
attention cette loi s applique a toute vente a domicile quelque soit le statut
par contre il faut savoir que seulement 10 % des vdi embauche vont bosse
donc a vous de leur propose unsuivi terrain /formation/ motivation pas evident quand on est pas a cote
Oui oui je le sais tout ça, Au secours ils vont tous me taper !
Je me suis mal expliqué en fait.
Un VDI ne peut exercer de vente uniquement sur internet car sinon c'est de la vente à distance. Il faut être auto-entrepreneur pour le faire.
Mais il y a quelques années le statut d'auto-entrepreneur n'existait pas.
On n'avais le statut de VDI (Mandataire, acheteur-revendeur ou .... Courtier)
Le VDI Courtier met en relation les clients et la société, et les e-boutique ne servent qu'à faciliter les démarches de ventes. Et pour justifier pleinement de notre statut de VDI, celui de conseiller les clients en leur présentant les produits, nous faisions des réunions privés en "conférence internet" ou "video conférence" dans des salles virtuelles privés. Et quelques fois un responsable ou un gros leaders de la société venait y participer.
Et c'est bien lorsque le consommateur aura apprécié les produits présenté en "video conférence", (et ensuite j'envoyais des échantillons gratuit de 50 ml par la poste) à ceux intéressé que celui-ci allait commander ou pas...
Voilà, en résumé, comment celà se passait chez nous, nous avions l'autorisation de faire comme ça pour développer notre clientèle au niveau national. Et si on faisait un site perso pour rediriger les clients intéressé en conférences/réunions, le contenu de celui-ci devait être obligatoirement contrôlé par l'entreprise.
Maintenant tout ceci à bien évoluer et est bien mieux fait, et c'est très très courant dans les sociétés de Marketing de réseaux, qui fournissent carrement la e-boutique (on peut même choisir d'y activer uniquement les produits que l'on souhaitent vendre.
Beaucoup proposent des e-boutiques pour aider leurs partenaires, après c'est au partenaire de faire en sorte de bien faire son suivi client, répondre à ses questions, l'inviter à d'autres présentations etc...
Je crois même que la société qui a le meilleur taux de progression depuis quelques années au niveau mondiale, utilisent beaucoup et fournis (entres autres) des e-boutiques à ses partenaires.
Personnellement je trouve même que c'est bien plus commode et plus rapide, que de remplir un bon de commande papier. Les clients apprécient de plus en plus ce genre système, et c'est aussi de cette manière via le bouche à oreille et ce plus de catalogues en ligne (qui fait plus moderne que le catalogue papier), que certains clients deviennent aussi distributeurs.
David