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 Exporter c'est bien, encaisser c'est mieux! .

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Exporter c'est bien, encaisser c'est mieux!  .  Empty
MessageSujet: Exporter c'est bien, encaisser c'est mieux! .    Exporter c'est bien, encaisser c'est mieux!  .  Icon_minitimeMer 6 Oct 2010 - 16:57

Exporter c'est bien, encaisser c'est mieux!

et pour tous ceux qui desire exporter

le lien exact http://solutionsbusiness.lentreprise.com/international/exporter-c-est-bien-encaisser-c-est-mieux-_a-13-287.html#XTOR=EPR-11




S'il peut être relativement facile de capter des clients à l’international, en trouver en revanche qui paient à l’échéance prévue est une autre affaire.

© Oleksandr Dibrova - Fotolia.com Tous les clients ne sont pas des mauvais payeurs chroniques. Le plus souvent, le risque principal est le risque pays. 90% des sinistres à la grande exportation sont dus aux risques liés à l'environnement politicoéconomique du pays dans lequel on exporte et non à l'insolvabilité de l'importateur.

Rappelons les principaux risques pays : le risque de non transfert d'argent lié à l'insuffisance de devises à la Banque centrale du pays concerné. C'est l'une des principales sources de retard de paiement, voire de non paiement. Il y a aussi les risques politiques, fiscaux, la lenteur et la lourdeur des dédouanements des marchandises à l'arrivée. Enfin, l'entreprise exportatrice peut être confrontée aux risques juridiques et culturels locaux.
Comment se protéger ?
D'abord, en verrouillant les contrats et en soignant particulièrement les conditions financières. L'utilisation appropriée des moyens de paiement est l'un des éléments déterminants d'une politique efficace de gestion des créances à l'international. Le choix du mode et du délai de paiement doit être déterminé par l'analyse du risque client et du risque pays.

Mais certains moyens de paiement sont à proscrire, les chèques et effets de commerce par exemple. Ces moyens de paiement qui sont essentiellement « nationaux » sont en net recul dans la grande majorité des pays. Contrairement aux idées reçues, Il faut aussi écarter la remise documentaire parmi les moyens de paiement spécifiques aux opérations de commerce international. En quoi consiste-t-elle ? L'exportateur remet à sa banque un certain nombre de documents que celle-ci transmet à la banque de l'importateur. Cette dernière est supposée s'en dessaisir contre le paiement de l'importateur ou la promesse de paiement (traite). Sauf à prévoir dans les documents remis, une traite avalisée par une banque de 1er rang, la remise documentaire n'offre aucune sécurité à l'exportateur. Il n'y a pas d'engagement bancaire, l'acheteur peut très bien ne jamais retirer la marchandise parce qu'entretemps il aura pu être approvisionné par un autre fournisseur. En clair, la remise documentaire ne se justifie que dans le cas où la réglementation locale impose un paiement par encaissement documentaire et où le faible montant de l'opération ne justifie pas l'ouverture d'un crédit documentaire trop onéreux. En général, le choix est donc réduit au virement bancaire ou au crédit documentaire.
Virement bancaire
Celui-ci représente entre 60 et 70% des transactions court terme. Et dans la grande majorité des cas, on parle de virement SWIFT. C'est l'acronyme d'une société belge (Society for Worldwilde Interbank Financial Telecommunication) exploitant un réseau privé de télétransmissions, dont les caractéristiques principales sont la rapidité, le faible coût et surtout la sécurité des transactions.
Le crédit documentaire
Le crédit documentaire revient au premier plan, compte tenu de la crise financière, de l'augmentation des risques de crédit et également du durcissement des réglementations sur l'importation dans certains pays. L'Algérie par exemple, impose l'utilisation du crédit documentaire à partir de montants très faibles.

Contrairement à la remise documentaire, dans le crédit documentaire (le crédoc), les banques ont une obligation de résultats. La banque émettrice, s'engage à payer un certain montant au bénéficiaire, sous réserves de la conformité des documents requis et du respect des délais fixés.

C'est surtout dans la conformité des documents que réside la principale difficulté du crédoc. Souvent les banquiers émetteurs de certains pays compliquent volontairement la tâche de l'exportateur, truffant leur texte d'incohérences par rapport au contrat commercial, voire entre les documents requis. Lors de l'examen des documents, les critères ne sont hélas pas les mêmes dans certaines zones géographiques, générant ainsi de fausses irrégularités retardant ainsi le paiement au bénéficiaire.

La règle : être très directif dans les instructions d'ouverture d'un crédoc adressées à l'importateur et très rigoureux dans l'examen des documents avant de les remettre à la banque désignée pour payer.
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